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Asher Abberline

You’re like a fistful of sand

nom, prénom(s) ◇ Peu d'extravagance dans le prénom, Asher, probablement un truc choisi dans un manuel de noms pour bébé par ses parents - il s'est jamais vraiment posé la question, en voit pas l'intérêt, y a jamais vraiment pensé. Il toutefois trouve une petite fierté dans son patronyme, qu'il a déjà vu quelques fois étalé dans les mots d'encre de la littérature anglaise - Abberline, comme un homme au personnage souvent mis sur les pages, sans toutefois avoir de lien de sang avec lui - chose qu'il aurait adoré. âge, lieu de naissance âge, lieu de naissance ◇ Il porte sa vingt-septième année avec nonchalance, enfant de Londres et des pavés grisés de suie et d'années, né dans le courant d'un venteux mois de février. origines, nationalité ◇ Du peu qu'il en sait, il aurait des perles de sang irlandais, et quelques ancêtres français dont il ne connaît que l'existence et pas l'identité - sur ses papiers, en tout cas, il est farouchement anglais, enfant élevé sous les étrangetés de la couronne et des mimiques britanniques. statut civil, orientation ◇ romantique effarouché et fervent croyant des âmes soeurs et de la complémentarité, il se focalise pas sur les sexes ou les préférences - il est pansexuel, attiré par les âmes et les sentiments plus que les corps - il est officieusement en couple avec une gosse de riche qui l'attire autant qu'il la hait, et officiellement parfaitement célibataire, coincé dans une situation qui le dépasse. occupation ◇ Il emplit les pages blanches d'encre et de sens, de mots et d'histoires, sans réussir à se faire publier. Auteur anonyme et en galère, il paye son loyer avec les chèques que lui donne la gosse de riche - pour ses nouvelles, et pour son incroyable capacité à faire enrager ses géniteurs. en ville depuis ◇quelques années maintenant - il a quitté Londres même dans l'espoir de trouver un endroit plus calme et à proximité - pour écrire et se poser, non pas que ça ait au final grandement aidé. traits de caractères ◇ rêveur ; romantique ; passionné ; désordonné ; sarcastique ; moqueur ; beau parleur ; naïf ; peu attentif ; impatient ; extraverti ; fêtard ; propre sur lui ; gaffeur, à la limite de boulet ; un brin immature ; impulsif ; serviable ; téméraire ; borné ; intrépide ; attachiant. groupe ◇ smiling. avatar, crédit ◇ nick jonas, solsken.

(++ à add later, mort de l'ex boyfriend, passif douteux au lycée.)
Il a toujours été fervent adorateur de l’odeur des bouquins, de l’ambiance caractéristique des librairies et des bibliothèques – il a toujours vécu le nez entre les deux pages d’un quelconque roman, d’un quelconque ouvrage, Ash, gamins de l’encre et des livres sans images. Il a toujours lu plus que les gens de son âge, plus vécu, au travers des pages – et devenir auteur, devenir le porteur au lieu du voyageur, ça l’avait toujours fait rêver. Et alors qu’il pianote aujourd’hui encore sur son ordinateur, il s’dit que ce rêve a jamais été si proche, et si loin à la fois. // Pur amoureux des animaux et des boules de poils, c’est pas rare de le voir faire bénévole dans un refuge – il a même fini par en adopter un, de chien, un berger australien, qu’il a appelé Sherlock, comme un personnage iconique d’un roman qu’il a tant lu étant jeune et frêle que les pages en sont encore cornées et presque jaunies. Il en est complètement gaga, sa voix virant vers les aiguës, chaque fois qu’il le voit // Quand il écrit pas, quand dans ses mots il s’perd pas, c’est pas rare de le voir gratter les cordes de sa guitare, alors que la nuit est tombante et qu’il se fait tard. Il compose les mélancolies, rejoue les classiques, réinvente les mélodies, le son mélodieux comme cathartique, inspirant – il est pas mauvais, sans pour autant être très doué, mais certains lui ont dit qu’il avait une jolie voix, un ton qui transporte et qui téléporte – il est pas sûr qu’il y croit, pas sûr de voir les choses comme ça. Alors il joue pour le plaisir, il joue selon lui et ses bons désirs, quand l’inspiration et la désolation envahissent son esprit et non ses pages. // Il a développé une addiction au café très jeune – se sentant adulte en se mettant à en boire dès sa douzième année, faisant fi des conseils de médecin qui auraient eu une attaque face à un comportement aussi crétin, et ignorant complètement l’état de ses pauvres nerfs. Il a jamais vraiment su arrêté – et connaît même maintenant plutôt bien les serveurs du starbucks, à force d’y passer ses journées, l’air rivé sur un écran d’ordi, à rien écrire, à rien savoir décrire, à rédiger des pages qui sont de pire en pire. // C’est pas rare de le voir se changer les idées au milieu de soirées où il connaît pas grand monde, de flirter innocemment avec des demoiselles sans toutefois jamais aller plus loin – parce qu’il est charmeur, auteur, alors beau parleur, mais il a une vision de l’amour trop idéaliste pour s’laisser aller à des coups d’un soir. Ce serait contraire aux fantasmes Austeniens qu’il avouera jamais vraiment avoir – orgueil et débilité, dans son cas. // C’est une vraie victime de la mode – les sous qu’il dépense pas dans son loyer, ses factures et ses cafés, il les met dans des vêtements qu’il met parfois jamais. Et tout s’entasse, comme une vraie masse, dans ses placards déjà remplis. Il achète probablement des trucs bien trop chers pour lui, des trucs inutiles – parce qu’au delà d’être un vrai obsédé des fringues, c’est aussi un dépensier, alors qu’il est tout sauf riche, même plutôt galérien, obligé de se sustenter d’un rien. // Il est très attaché à sa barbe – aussi bizarre ce fait soit-il. Il en fait toute une histoire, toute une religion. Il passe presque une heure à la tailler, va parfois même chez un barbier – parfois, il se laisse aller à la superficialité. Souvent, en vérité. // Il est fan de la série friends – tellement qu’il a toute une étagère pleine de goodies. Son enfance a été bercée avec ces six idiots dans leur appartement de New York, et c’est ce qu’il se plaît à regarder chaque fois qu’il est déprimé, chaque fois qu’il a envie de rigoler, chaque fois qu’il veut se changer les idées. C’est le genre de séries qui lui permettra toujours de s’évader – et il en a souvent besoin. // Il souffre d’anxiété – le stress, les mains moites et l’impression qu’il va jamais y arriver, la panique dans les prunelles, le profond sentiment de jamais en faire assez, de pas être ‘good enough’ // Il collectionne les timbres, trouvant un charme un peu particulier dans la symbolique des lettres, qu’il trouve toujours au goût du jour – il doit faire partie des rares qui en envoient encore, l’air d’antan lui paraissant étrangement familier. Il dit souvent qu’il est une « vieille âme », coincée dans la mauvaise époque.

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☾ LES SUJETS EN COURS.
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☾ LES SUJETS TERMINES.
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☾ LES SUJETS ABANDONNES.
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comme promis, je viens demander un lien.
alisha et poppy sont de très bonne amie depuis le lycée + elles ont travailler ensemble à la revue d'alisha quelques temps puisque poppy s'occupait de la section cuisine. maintenant, elle fait quelques articles de temps en temps pour dépanner son amie.
je ne sais pas ce que tu as prévue avec alisha, mais j'imagine que ça peut aider.

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@asher abberline je suis sûre qu'on peut se trouver un beau lien avec june, une amitié peut-être (asher), tying up the silence i’m busy running away 2044406910

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tu penses que par exemple, il aurait pu vouloir écrire une nouvelle sur des criminels, quelque chose comme ça ? et june aurait pu l'aider à cerner un peu le milieu carcéral peut-être (asher), tying up the silence i’m busy running away 917707445

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peut-être aussi qu'on pourrait trouver quelque chose avec livia, j'ai vu qu'il fait un peu de gratte comme elle (asher), tying up the silence i’m busy running away 1077740477

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