Sara Ledger╠ Reine

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Sara Ledger

Faudrait p't'être casser les codes, une fille qui l'ouvre ça serait normal

nom, prénom(s) ◇ Sara Ledger âge, lieu de naissance ◇ 19 ans, Londres, un 11 Août origines, nationalité ◇ De nationalité anglaise, elle a hérité des origines espagnoles de sa mère et israéliennes de son père. statut civil, orientation ◇ Hétérosexuelle, célibataire. occupation ◇ Etudiante en droit. Deuxième année. Université de Londres. en ville depuis ◇ Toujours traits de caractères ◇ Excessive. Elle ne pleure pas, elle éclate en sanglots. Elle ne sourit pas, elle se meurt de rire. Elle ne marche pas, elle court, tout le temps. Impétueuse, elle est comme le vent d’une tornade, elle ravage tout sur son passage dès lors qu’elle ait en colère. Maligne, elle est clairvoyante et consciente du danger ou de la bienveillance. Drôle, elle a un sens de l’humour qui frôle le cynisme et l’ironie. Elle est dotée d’une joie de vivre qui pousse son entourage à la comparer à un soleil. Comme cet astre, elle aime que son monde gravite autour d’elle comme un insecte attiré par la lumière d’un revolver. Féminine, elle fait attention à sa ligne et choisit ses fringues avec soin. Elle n'apprécie que peu son physique. Elle compense avec le style. Tête brûlée, répéter les choses ne suffisent pas. L’interdit l’ennuie. Il faut qu’elle aille au bout de ses envies, de ses décisions, pour se planter, quand c’est inévitable et ainsi grandir. Débrouillarde, elle se sort de toutes les situations. Capricieuse, elle aime obtenir le jour ce dont elle rêve la nuit. C’est la faute de ses parents. Rien n’était jamais trop beau pour elle. Méfiante, elle n'accorde que très rarement sa confiance. Quand elle le fait, elle attend de l’autre la loyauté la plus totale. Passionnée, elle se donne corps et âme dans tout ce qu’elle fait ou tout ce qu’elle vit. groupe ◇ fighting avatar, crédits ◇ Lily-Rose Depp, Shiya, tumblr.

✰ BORN TO DIE

1.Sara ne connaît qu’une seule solution pour soigner une baisse de morale : le shopping. Lécher les vitrines de luxe, fouiller les étalages des friperies, essayer toutes les chaussures d’une boutique spécialisée… rien n’est assez bien ou trop beau tant qu’elle se remonte le moral. Le must, c’est de se prêter au jeu en compagnie de sa maman. Elle est entourée, Sara. Il gravite autour d’elle beaucoup de monde, d’amies également, mais la seule femme en qui elle a confiance, c’est Camilla. Elle n’a que très peu de secrets pour elle et, bien qu’elle soit majeure, elle n’hésite pas à se réfugier au creux de ses bras si elle en ressent le besoin. 2. Passionnée de mécanique, elle apprit en compagnie de son père alors qu’elle n’était qu’une enfant. C’était leur rituel, celui du dimanche. Sara avait décrété que cette journée leur était réservée et, Saul, il se plia aux exigences de sa princesse. Il lui apprit à changer un filtre à air, à reconnaître la moindre panne juste à l’oreille. Avec lui, elle révisa des moteurs et remplaça des embrayages défectueux. Arbres à cames, courroie d'administration et carburateur sont des mots loin d’être étrangers à son vocabulaire. Aujourd’hui, ni l’un ni l’autre n’ont forcément le temps de se réunir hebdomadairement, mais ils n’oublient pas qu’ils ont, ensemble, une vieille bécane et une vieille bagnole, à réparer, juste pour elle. 3. Parce que les chiens ne font pas les chats, si elle partage la passion des moteurs avec papa, elle s’est toujours beaucoup intéressée à la décoration. Dans son souvenir, elle s’asseyait auprès de sa maman et elles feuilletaient ensemble des magazines. Quelques fois, il lui est arrivé d’aider à remettre en couleur, à réinventer un objet ou à donner son avis sur l’achat d’un meuble ou l’autre. Elle était petite quand elle décora sa chambre et Dieu qu’elle fut fière de la joie de sa mère plus que satisfaite du résultat. 4. Sara, elle ne boit pas pour le plaisir. On ne la trouve avec de l’alcool à la main que pour parader. Vin rouge ou champagne, elle le sirote et ne finit jamais son premier verre. Pourtant, le goût est plaisant, plus encore s’il y a des bulles. Malheureusement, cette crainte de perdre le contrôle d’elle-même, d’une situation et, pire, de sa vie l’angoisse au plus haut point. Trop souvent elle a contemplé, d’un œil effaré, des types ou des gamines, jusqu’alors respectables, se transformer en pitoyables épaves. Hors de question que ça lui arrive… faudrait-il qu’elle aime jusqu’à la souffrance pour déposer les armes et lâcher prise. 5. Petite – elle devait avoir cinq ans - elle a failli mourir noyée tandis qu’elle jouait au bord d’une piscine. Un homme l’a poussée par inadvertance. Elle ne savait pas nager. Son père, son héros l’a sauvée tandis qu’elle s’imaginait déjà morte. Depuis, elle n’a plus jamais remis les pieds dans l’eau chlorée d’une piscine. Au mieux, elle se baigne à la plage, si l’eau ne dépasse pas sa taille, mais ce n’est pas sa tasse de thé. Elle préfère s’essayer au beach-volley, lire un bouquin sur un transat et sous un parasol, se balader au bord de l’eau, mais s’éloigner du bord à plus d’un mètre ? Jamais sans une personne de confiance, et qu’importe son âge… 6. Dans son enfance, elle cultiva le rêve assumé de travailler avec son père ou avec sa mère. La psychologie ne lui plaisant pas vraiment, elle hésita entre la médecine ou le droit. Elle opta pour son dernier choix. Pourrait-elle être plus utile à son père qu’en étant capable de défendre ses intérêts ? Qu'en l'aidait à choisir ses placements ? Qu'en négociant avec lui ses sponsors ? Elle étudie fort pour atteindre cet objectif. 7. Elle s’est essayée à la danse classique et à l’athlétisme, mais ces sports n’éveillèrent en elle aucune passion. En revanche, elle se révéla dans la musique et le wing chun, art martial adapté à sa frêle silhouette et à sa nervosité. Ainsi, joue-t-elle du piano et du violoncelle. Récemment, elle s’est essayée à la guitare, pendant un blocus. Quant à la boxe chinoise, c’est son exutoire. Elle l’aide à canaliser son énergie. Elle la rassure au quotidien. 8. Elle est dotée d’une mémoire auditive hors-norme. Pour ses études, c’est un atout. Elle assimile près de 75% de la matière en participant au cours. Dans son quotidien, c’est une plaie pour elle et pour les autres. Elle n’oublie jamais ce qui l’a rendue particulièrement heureuse ou malheureuse. Elle compare d’ailleurs son cerveau à un placard aux mille tiroirs qu’elle ouvre au besoin pour ressortir les vieux dossiers. Elle les utilise alors à bon ou à mauvais escient, selon le cas, blessant, parfois, obtenant, toujours. 9. Elle ne porte pas de parfum. Juste de l’essence de patchouli. C'est fort, mais ça sent bon. Elle aime parce que c’est identitaire. Tout le monde sait qu’elle approche rien qu’en humant l’air. 10. Elle a fumé sa première cigarette à l’âge de 16 ans. Elle cherchait à impressionner un mec qui, en apparence, ne la regardait pas. Depuis, elle n’a jamais arrêté, mais n’en fait certainement pas l’étalage. Elle ignore comment ses parents réagiraient et s’il est bien quelque chose qui l’effraie, c’est de les décevoir. Pour demeurer leur plus belle réussite, pour que le regard qu’ils posent sur elle ne change jamais, elle ne peut se permettre d’être tout à fait honnête. Certes, elle ne cultive que peu de secrets, mais il en est, quelques-uns, en particulier lorsqu’ils concernent ses histoires d’amour souvent interdites. C’est inconscient évidemment. Elle n’est pas bien différente des autres filles de son âge. Elle rêve, elle aussi, d’une histoire d’amour sans complexité, d’un homme qui l’adorerait et qu’elle aimerait en retour. Sauf qu’elle s’embrigade systématiquement dans des relations aux lendemains incertains à cause de l’âge, du statut, du métier ou de la proximité avec son jaloux de père. Ce n’est pas vraiment sa faute. Elle en sait si peu sur l’amour… elle ne connaît que le modèle de Camilla et Saul : passionné jusqu’à la souffrance parfois, faits de cris, de larmes, d’éclats de rires et de tendresse, beaucoup de tendresse. Du moins, était-ce ce qu’elle s’était toujours imaginée jusqu’ici…11. Elle a hérité de l’indécision de sa mère. Alors, pour s’aider à trancher, elle fait des listes… .

✰ YOUNG AND BEAUTIFUL

pseudo, prénom / S.âge / La trentaine localisation / E. où avez vous trouver le forum / Je ne sais plus, mais je le surveille depuis un moment. présence / Tous les jours, sauf exception. avis et plus / Vous avez l'air d'être une chouette communauté et ça me plairait de m'y intégrer pas à pas. personnage / scénario. (@Camilla Ledger @Saul Ledger).

Code:: <pris>Lily-Rose Depp</pris> ⟡ <pse>@"Sara Ledger"</pse>

Dernière édition par Sara Ledger le Mer 13 Mar - 21:48, édité 9 fois

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Les gens me disent à demi-mot
Pour une fille belle t'es pas si bête
Pour une fille drôle t'es pas si laide
Tes parents, ça aide

C’était le bon, pourtant. Du moins, aurait-il dû l’être. Ne l’avais-je pas ressenti au fond de mes tripes ? N’avais-je pas vacillé sous le poids de son regard clair et gorgé d’envie ? Je ne savais plus. Assaillie par le doute, ma peine oscillait entre la blessure de l’ego et celle du sentiment amoureux, mais l’hésitation ne changeait pas grand-chose. J’étais tout de même seule, dans un pub anglais bien fréquenté, assise à une table bancale, tout juste abandonnée par mon bourreau. Pour unique compagnie, deux cocas à peine entamés et une addition à payer, mon âme en peine et mon cœur au bord des lèvres. Je n’avais de cesse de m’interroger sur ce que j’avais raté, encore… M’étais-je simplement convaincu d’y croire par obligation sociale ? Pour mener une vie normale ? Pour mieux entendre les émois qui agitent mes parents depuis tant d’années ? Pour souffrir et me sentir vivante ? Mon mal-être m’empêchait de réfléchir, de trouver en moi les bonnes réponses, celles justifiant ce semblant de rupture. Elle n’était qu’une ébauche, puisque nous n'étions pas vraiment en couple. De mon point de vue, une fille comme moi, ça se mérite. Il n'avait pas su attendre. Plus grave encore, le pleutre n’avait pas eu le cran de me larguer en bonne et due forme. Il n'avait même pas eu le courage de me dire qu'il en avait marre de me faire la cour pour me culbuter. Il m’avait laissé le soin de prendre cette décision irrévocable moi-même, comme une grande fille que je n’étais pas tout à fait.

Penaud, le lâche déclara tout de go : « Je suis marié, Sara. Je sais que j’aurais dû te le dire plus tôt, mais je n’ai pas osé. C’était trop tard. Je... enfin, tu me plaisais tellement. Tu me plais tellement. Mais, je ne peux pas lui faire ça. » Comprendre : à ma femme. La jalousie m’écrasa. « Mais, ça me fend le cœur d’avoir à te faire de la peine. Je… enfin, je ne sais pas trop quoi faire. Je suis un peu perdu. » conclut-il sans jamais affronter mes yeux noircis par la trahison et cette impression d’être idiote et pathétique. Marié. J’aurais dû m’en douter. Près de trente ans, bel homme, de bonnes manières – en apparence – son célibat était une chance inouïe, insolente. Pourquoi donc avais-je dénié les avertissements de mon instinct ? Pourquoi ? « Je comprends. Il ne faudrait surtout pas qu’elle se rende compte que tu en pinces pour une gosse et qu’elle a épousé un homme sans couilles. » crachais-je en regrettant cette vulgarité qui ne me ressemblait pas vraiment. J’étais honteuse également, honteuse de m’être laissé séduire par un type aussi éloigné de mon père. Lui, il était franc et solide. Il ne courbait jamais l’échine. Il assumait ses choix, ses décisions ou ses erreurs, sans fléchir, sans tomber, la tête haute et le torse bombé. Sous ses airs parfois bourrus, sa classe était inégalable. « Au moins, je le sais. Je peux prendre mes jambes à mon cou et te détester en toute quiétude de m’avoir fait perdre mon temps. »

C’était, normalement, le moment où je me levais en lui souhaitant le meilleur. Or, il était tant pressé de retrouver sa petite vie de merde qu’il me devança, l’air soulagé et sans cherche à le dissimuler. Comble de l’insulte et, à tout bien peser, je peux décemment trancher. Il n’était pas le bon. Peut-être n’en étais-je pas amoureuse non plus. Je n’avais mal que d’avoir été méprisée, mésestimée et ma tristesse se mua en colère. Elle était telle que je fus forcée de m’enfuir pour pleurer tout mon saoul, dans ma voiture, à l’abri des regards indiscrets. Il ne méritait pas que je m’affiche ou que je sanglote. Je m’efforçai donc de me calmer, m’aidant d’un coup de fil à ma meilleure amie. J’étais en quête de réconfort, mais elle ne m’en apporta aucun. « Je te l’avais dit qu’il était louche. » ponctua-t-elle en m’agaçant au passage. Qu’importe. Je n’étais jamais seule. Ma mère, elle, elle saurait quoi dire pour m’apaiser sans avoir besoin que je lui raconte ma déroute. Je ne le ferais pas. Un homme marié, ce n'était pas très reluisant. Mais, entre elle et moi, les mots sont inutiles. Aussi, pris-je la route jusqu’à la maison, ce chez-moi où je suis toujours la bienvenue, où je suis aimée, où le mensonge n’existe pas… n’existait pas.

***

La crise d’adolescence traversa ma vie comme une brise légère. Je ne commis aucun acte regrettable de peur de décevoir mes parents. En croisant le regard de ma mère après cette mésaventure, une profonde culpabilité m’envahit. Je craignais qu’elle m’aime moins si elle apprenait que j’avais côtoyé un homme lié à une autre par un serment sacré ? Me croirait-elle si je lui jurais qu'il ne s'était rien passé ? Serait-elle triste ? En colère ? Mon père me regarderait-il autrement ? Me verrait-il toujours comme ce bébé innocent qui le bouleversa ? Et moi ? Que lirais-je dans mon reflet à travers un miroir ? Valait mieux ne pas y penser et, pour ce faire, je devais m’occuper l’esprit à tout prix le temps de la consultation entamée par maman. Mais, que faire ? Jouer du piano déconcentrerait sa séance, il était dans le salon à proximité du bureau de la psychologue. Mon violoncelle, il était à l’entretien. Mon père était absent et je n’avais aucune envie de me salir les mains dans le cambouis d’un moteur sans lui. Ça n’avait pas la même saveur. À tourner comme un lion en cage, je me surpris à ouvrir les tiroirs de la cuisine, puis ceux du salon, en quête d’inspiration quelconque. Un magazine de déco si précieux à ma mère à feuilleter. Ça, c’était une excellente idée. Me concentrer sur les tendances actuelles, imaginer un nouvel agencement pour ma chambre, ça m’occuperait l’esprit, ça m’empêcherait de trop réfléchir, de me torturer, de soupirer.

Ni une ni deux, je fouillai les placards quand une énorme enveloppe Kraft attira mon attention puisqu’elle était estampillée du logo d’un grand cabinet d’avocats de Londres. Tout étudiant en droit qui se respecte connaissait ce bureau. Certains – pour ne pas pointer du doigt la majorité - rêvaient secrètement de gonfler leur rang. Personnellement, j’avais d’autres ambitions. « Qu’est-ce que c’est ? » m’interrogeais-je en la décachetant. L’effort n’était pas considérable. Elle avait déjà été ouverte et, visiblement, ignorée. L’œuvre de mon père. Ce n’était pas une prophétie, mais une évidence. Elle contenait les papiers d’un divorce réclamé par ma mère, signé de sa main, mais pas de celle de Saul. « Putain, je le savais. » pensais-je après trois relectures et de longues minutes nécessaires à digérer l’information. Elle me faisait l’effet d’une bombe, d’un coup de poignard dans l’estomac. Décidément, ce n’était pas ma journée. J’aurais mieux fait de rester couchée. « Merde. Merde. Merde…. » Les mains tremblantes, je peinais à glisser les documents dans leur contenant. Moi, habituellement si solide, j’étais à deux doigts d'abandonner à imaginer mon avenir. À mon âge, il ne serait pas question de garde alternée, mais avec qui passerais-je les fêtes de Noël ? Quelle serait leur goût si je n’avais pas le yin et le yang à mes côtés ? Saul et Camilla formaient un tout dont j’étais le résultat et il était hors de question que mon quotidien tombe en ruines pour quelques malentendus ou pour des problèmes qu’ils étaient capables de surmonter. D’ailleurs, quels étaient-ils exactement ? Je remarquais bien qu’ils se disputaient plus régulièrement et de plus en plus fort, mais on ne sépare pas Romeo et Juliette à moins de souhaiter une fin tragique. Je devais agir. L’apitoiement, ça ne me ressemblait pas et, quelque part, la vie était bien faite. Elle m’arrachait une épine du pied - non sans douleur cependant - et elle m’offrait d'emblée un combat à livrer, un combat à la hauteur de mon talent pour la manipulation parentale. Foi de Ledger, ils ne se quitteraient pas. Ils ne feraient pas de moi un enfant du divorce. Il ne détruirait pas mes espoirs que l’amour existe, autour de nous, qu’il suffit d’un soupçon de chance et de beaucoup d’efforts pour le rencontrer. Je refusais, tout simplement. Alors, j’abandonnai un mot griffonné à la hâte - « Je rentrerai dans deux heures. Je vais passer voir papa. Je t’aime plus loin que la lune et le soleil. Bisous. » - sur le plan de travail de la cuisine, je grimpai à nouveau dans ma voiture et j’avalai les kilomètres jusqu’à ses écuries. C’était le lieu où j’étais le plus susceptible de le dénicher, mon héros.

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aaaaaaaah une sara Sara Ledger╠ Reine 4216861866

tu fais un super choix et je pense que tu vas bien t'amuser avec elle Sara Ledger╠ Reine 2817905847

bienvenue parmi nous beauté Sara Ledger╠ Reine 2044406910

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heeeeeey,
j'te souhaite officiellement la bienvenue gamine.
Sara Ledger╠ Reine 4169675820

content que t'aies craqué,
j'suis sûr que ta fiche sera parfaite.
si t'as la moindre question,
tu connais déjà le chemin de ma boîte à mps.
Sara Ledger╠ Reine 2503520811

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la plus belle.
maman est fière.
vraiment Sara Ledger╠ Reine 4216861866

bienvenue mon petit chat Sara Ledger╠ Reine 504506027

ma boite mp est ouverte aussi hein Sara Ledger╠ Reine 716869765

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ça promet
bonne rédaction!
si tu as besoin.

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@livia caldeira Ouais! C'est l'impression que ça m'a donné à moi aussi. Merci pour ton message de bienvenue.

@saul ledger Merci à toi pour l'accueil en tout cas. Tu as su te montrer disponible et ça n'a fait que me conforter dans mon choix. C'est tellement rare les gens disponibles. J'espère ne pas décevoir.

@Camilla ledger Oui. J'ai trouvé le chemin aussi. Je sens qu'on va trop bien s'amuser.

@poppy brock Merci beauté, mais pourquoi tu pleures ?

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Bienvenue parmi nous! Sara Ledger╠ Reine 2675475702

Tout est un super choix! Elle est parfaite la gamine Ledger! Sara Ledger╠ Reine 4216861866

Hâte d'en lire plus! Sara Ledger╠ Reine 695416500

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Merci Damon. Tu as fait un excellent choix d'avatar hein Sara Ledger╠ Reine 504506027

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bravo, t'es validé(e) !

Sara Ledger╠ Reine 1552561910-tumblr-oilyhebfou1tumicto3-250

maman est d'accord avec papa,
pour une fois.
et t'es parfaite dans le rôle.
on a rien à redire.
pis cette plume,
on a dévoré ta fiche.
maintenant on veut voir c'que ça donne en rp.
Sara Ledger╠ Reine 2503520811

Tu as passé la difficile épreuve de la fiche de présentation et te voilà enfin dans les rangs de Murphy's Law. Pour bien commencer ton aventure parmi nous, il faut que tu commences par te recencer. Etape obligatoire à ne pas louper. Tu peux déjà te créer un scénario ou alors un prélien, c'est comme tu veux. Nous espérons que tu as déjà lu le règlement, si ce n'est pas le cas, nous te conseillons vivement d'en prendre part. Tu peux aussi créer le téléphone de ton personnage ainsi que son instagram, pour les plus frileux des réseaux sociaux. N'oublie pas de remplir tous les champs de ton profil. Mais surtout, n'oublie pas de t'amuser et nous espérons que ton séjour sur le forum sera des plus heureux

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Merci beaucoup Sara Ledger╠ Reine 504506027

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