| | | les cents ciels,, lisy. |  |
| welcome to hill head ☽ member ∴ POSTS ENVOYES : 22 ∴ PSEUDO : néphélée, cynthia. ∴ FACE : bridget satterlee. ∴ CREDITS : cliffs edge (av)
 |  Sujet: les cents ciels,, lisy. Dim 17 Mar - 17:36 | |
| lisy saint-clair
ELLE T'EMMÈNE DE L'AUTRE CÔTÉ D'LA TERRE JUSTE QUAND ELLE OUVRE LES PAUPIÈRES  | |
nom, prénom(s) ◇ la marque de l'empire en cette poigne lacérant son épaule, saint-clair dont s'échappe les volutes bourgeoises. les lettres sont apposées à la pointe dorée dans une calligraphie lisse, trop nette. pompeuse. lisandra bérénice marie ange, ce patronyme à rallonge des genres majestueux. celui qu'elle déteste tant il sonne présomptueux et qu'elle troque, les lippes étirées, en un lisy plus affectueux. âge, lieu de naissance ◇ elle a la grace et le goût qui se sont posés sur son berceau. la môme dont les iris étincelants se sont ouverts sur l’haussmannien de paris. les qualités qu'on prête à sa cité, lisy les porte du bout de ses phalanges depuis vingt-deux années. origines, nationalité ◇ l'accent qui trahit sa patrie, sa langue qui fourche en gardant son élégance. malgré son éloquence travaillée, lisy porte la france au bord de ses lèvres. la france qui brûle dans son coeur, attisée par la mélancolie des souvenirs où se mêlent douleur et euphorie. statut civil, orientation ◇ elle a le myocarde en cage, lisy. elle l'a scellé des maux qui ont pesé sur son échine. les dommages d'un élan d'ivresse qui l'a rendu aveugle. elle n'aime que ce qui ne peut la blesser. elle ne s'attache que dans la sûreté. libre mais pourtant pas seule, elle laisse son charme mutin faire son chemin. profite tant qu'on ne peut l'atteindre. dans les bras des hommes, lisy s'enflamme. eux l'allumette venant embraser la mèche de ses reins. occupation ◇ elle vous dira que c'est son choix alors qu'on y décèle la patte du paternel. elle racontera que c'est sa voie, mais on la lui sait tracée avant sa naissance. lisy, elle use son énergie dans des études de commerce dont la seule spécialité attrayante lui semble être la finance. lisy, elle a connu les chiffres avant les lettres. elle connait l'argent, mais elle devrait en apprendre la valeur. en ville depuis ◇ les terres d'hill head en peinture de ses étés, lisy en garde des années à s'évader de sa france. et face aux tropiques, les saveurs de l'angleterre ont ce goût de folie qu'elle préfère. mais lisy se pose en britannique depuis seulement une année. après la tempête, elle a voulu rejoindre ses étés. traits de caractères ◇ ambitieuse, angoissée, audacieuse, blessée, caractérielle, casse-cou, charismatique, compétitive, consciencieuse, cultivée, désinvolte, distinguée, éblouissante, éloquente, énigmatique, enjouée, entreprenante, impulsive, inaccessible, indomptable, insouciante, instable, intrépide, joueuse, libérée, au bord du lunatisme, nuancée, perfectionniste, pétillante, raffinée, sarcastique, sensible masquée, spontanée, téméraire. groupe ◇ smiling. avatar, crédits ◇ bridget satterlee, strockes.
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un,, poupée angélique aux allures perfectionnistes, lisy est née et a été élevée au statut de princesse dorée. les traits saints, presque célestes, elle est dotée de cette beauté immaculée qui fait la félicité de ses parents. gamine, elle sait sourire avec convenance. elle connait les codes, les basiques. lisy, cette môme formatée par un milieu qui aspire son essence. lisy, qui garde cette malice au fond du regard, une lueur presque éteinte, qui sommeille. deux,, cette gamine lissée à l'excellence, n'a pour visée qu'une façade. lisy, petite poupée qui ne demande qu'amour et tendresse, n'est qu'accessoire au poignet de maman. elle n'est que ce trophée qu'elle balade et présente comme un vulgaire chien de concours. elle n'est que roue de secours aux yeux du père, que second choix au coeur du paternel. puisqu'elle est femme, de ce foutu sexe faible. qu'elle est périssable - il est connu que pour elles, quand la beauté se fane, l'esprit est en reste. trois,, de cette peinture domestique il ne lui reste que philippe. lip. l'aîné qu'elle porte en admiration, malgré les frasques et les fracas, malgré le feu qui brûle où siège son âme. parce que lip est finalement l'unique membre de cette aquarelle à lui offrir son coeur sur un plateau d'argent, à lui porter une affection sincère et non dénuée de sens. et lisy, elle ne saurait ce qu'est la couleur des sentiments si ce n'est grace à lip. elle aurait sombré dans la démence de la solitude des fastueux. en mort cérébrale. juste pantin. marionette. du bois, pas de coeur. quatre,, dans son monde, les attentes fondées par les géniteurs ne se dressent pas uniquement sur un physique avantageux et un esprit vif. lisy, a très tôt été mise dans le bain de la compétition. équitation en loisir, elle postule en reine sur les poutres et tapis. gymnaste. lisy, elle est agile, elle a le corps de l'emploi, la délicatesse qui affole. elle n'a jamais vraiment sur, pourtant, si la passion s'était immiscée en elle ou si, par force d'habitude, elle avait appris à son palpitant à battre pour la gymnastique. qu'importe puisqu'il semblerait qu'elle soit née pour cette pratique. le choix n'existe pas - il n'existe jamais. maman aimerait la voir s'y épanouir. papa n'y voir aucun avenir. et lisy dans tout ce merdier ? lisy, elle ne pense pas. jamais. cinq,, elle a des facultés qui dépassent toutes les espérances ternies par le machisme pathologique du paternel. il faut croire que voir sa fille presque surpasser son héritier - et potentielle déception - lui procure une douleur sous le plexus. ce genre de concession à contre coeur qui lui sous-tire une grimace. le père continue d'espérer l'éveil du fils et lisy reste cette ombre qui, chaque jour, se dépasse. elle a beau apporter les meilleurs résultats possibles, rien n'est suffisant. alors lisy, elle croit que c'est lip qui vit le mieux d'eux deux. lui, l'esprit libre. lui qui ne pense pas aux conséquences. alors qu'elle ne survit qu'en fonction des répercutions. c'est le naturel qui a dirigé sa voie. les finances. comme papa. pourquoi lisy, dis nous pourquoi ... six,, elle paraît tellement parfaite, lisy. si bien qu'on se questionne sur son humanité. fruit de la science ou pure conception de la chance, on ira penser que ne peut exister une telle excellence mariée à la douceur dans une si charmante enveloppe. certains l'adulent, d'autres la jalousent. mais lisy elle a cette sensation de pression qui l'étouffe, cette impression oppressante de ne pas exister. véritablement. pour ce qu'elle est, elle. intérieurement. bombe à retardement, il ne lui manque plus que cette flamme pour enflammer son brasier. sept,, l'amour est conceptuel au regard de lisy. elle qui n'a connu qu'un homme et qui pense avoir aimer. gamins fourrés ensemble dès leur cinquième anniversaire, elle est tombée dans ses bras comme une évidence. un chemin tracé à l'avance. parce qu'il est le nathaniel archibald de sa blair waldorf - et elle aurait été heureuse s'il avait eut toutes les qualités de ce personnage de fiction. elle aime à croire que malgré leur destin forcé c'est son coeur qui l'a choisi, lui. qu'elle s'est un jour véritablement éprise pour son charisme indéniable, ses mots accrocheurs et ses iris enchanteurs. lisy, elle se voyait déjà la bague au doigt, dans le rôle de sa propre mère - en un peu plus heureuse, peut-être. en un peu moins aigrie, aussi. mais il faut croire que derrière cette façade dorée et scintillante se cachait le sombre du malin. elle s'est pris une belle gifle, lisy, au propre comme au figuré. elle s'est ramassée de bien haut quand elle a découvert l'envers du décor, que les sourires et les caresses ont laissé place aux cris et aux coups. qu'elle a goûté à son vrai visage. celui de la haine. huit,, elle est restée muette, lisy. elle a gardé la tête haute, classe comme toujours. les lippes flanquées d'un sourire radieux, le fare qui camoufle les dégâts. elle s'est plainte de courbatures quand la main dans le dos lui soutirait une esquive douloureuse. elle a joué le jeu, grande comédienne. puis personne ne l'aurait cru. elle ne saurait dire combien de temps cette mascarade a duré - trop longtemps serait sans doute le plus juste. si longtemps que lisy, elle a bien fini par croire qu'elle méritait tout ça. elle s'est demandé, puis persuadé, que c'était de sa faute, que c'était elle qui tournait de travers. qu'elle devrait vivre avec. et quand parfois la tendresse pointait hors de l'eau, elle ressentait l'espoir des souvenirs heureux. puis à nouveau la tempête. et lisy, au naufrage. neuf,, la vérité éclatée, en cascade contre ses joues rosées. t'en fais pas, c'est fini, qu'elle a menti. elle aurait aimé qu'il soit dupe, qu'il laisse couler. elle aurait souhaité que tout s'arrête, que tout ne reste qu'un affreux cauchemar. mon dieu ce qu'elle aurait voulu qu'il ne sache pas, jamais. que lip reste en dehors de tout ça. t'en fais pas, c'est fini, qu'il a promis. elle le savait trop impulsif pour ne pas réagir. elle le connaissait trop hargneux pour le laisser filer. mais jamais lisy ne serait imaginé la pluie de poings s'écoulant sur son fléaux. les coups en réponse aux coups. violence face à la violence. t'en fais pas, c'est fini, qu'il a promis. puis c'était fini. lip avait libéré lisy de sa cage pour finir derrière les barreaux. il avait troqué sa liberté contre la sienne. ça doit être ça ce qu'on appelle l'amour fraternel. dix,, elle a vrillé, lisy. complètement. parce que son myocarde n'a pas tenu le choc, que son encéphale est mort quand elle a entendu la sentence. disparue dans cet ailleurs censé la remettre sur pieds, elle s'est perdue entre deux cocktails édulcorés. tout paraît facile pourtant, avec ses sourires délicats et ses rires cristallins. lisy, aux apparences toujours aussi lisses et parfaites, fait avaler la pilule. apparences trompeuses pourtant. lisy angélique sous les rayons solaires devient lubricité sous les néons nocturnes. elle laisse s'exprimer cette lueur qui siégeait en son sein, découvre cette hardeur brûlant ses reins. elle n'est plus si plate lisy, si fausse. elle n'est plus cette ombre gardée dans un coin. lionne lâchée au milieu d'un monde de vices, elle découvre et se découvre. lisy elle joue un double jeu, en double je.
DATE --/ écrire ici. DATE --/ écrire ici. DATE --/ écrire ici. DATE --/ écrire ici. DATE --/ écrire ici. ☾ LES SUJETS EN COURS.
-- titre avec prénom.
☾ LES SUJETS TERMINES.
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|  | | welcome to hill head ☽ member ∴ POSTS ENVOYES : 22 ∴ PSEUDO : néphélée, cynthia. ∴ FACE : bridget satterlee. ∴ CREDITS : cliffs edge (av)
| | Sujet: Re: les cents ciels,, lisy. Dim 17 Mar - 17:39 | |
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| | | | welcome to hill head ☽ staff ∴ POSTS ENVOYES : 289 ∴ PSEUDO : emy. ∴ FACE : alyssa lynch. ∴ MULTICOMPTES : myra, june. ∴ CREDITS : myself.
∴ AGE : vingt-deux ans. ∴ STATUT CIVIL : des amourettes de passage, rien de trop sérieux. elle ne fait que prétendre qu'elle connaît tout des choses de l'amour. ∴ OCCUPATION : chanteuse pop-rock, qui rêve de devenir grande. ∴ ADRESSE : une villa sur cliff road.
| | Sujet: Re: les cents ciels,, lisy. Dim 17 Mar - 18:27 | |
| @lisy saint-clair je suis sûre qu'on peut trouver un truc entre nos deux filles  un petit duo infernal peut-être  |
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∴ AGE : vingt-deux ans. ∴ STATUT CIVIL : des amourettes de passage, rien de trop sérieux. elle ne fait que prétendre qu'elle connaît tout des choses de l'amour. ∴ OCCUPATION : chanteuse pop-rock, qui rêve de devenir grande. ∴ ADRESSE : une villa sur cliff road.
| | Sujet: Re: les cents ciels,, lisy. Ven 22 Mar - 17:32 | |
| @lisy saint-clair allez oooooh je suis carrément d'accord avec ça, une rencontre pendant un dîner un peu beaucoup relou tu sais et ça, ça lui ferait vraiment plaisir, vu le scandale qui a éclaté dans son pays, tout ça, le soutien de lisy pourrait carrément la booster  je les vois bien faire le mur toutes les deux, faire tourner les garçons en bourrique et tout  |
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| | Sujet: Re: les cents ciels,, lisy. Sam 23 Mar - 20:10 | |
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| | | | | | Sujet: Re: les cents ciels,, lisy. | |
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fait attention à ce que tu dis, lisy pourrait être carrément sur le dos de livia quitte à lui faire des surprises parfois de pas très bons goûts 
comme l'invité à sortir pour au final la mettre devant le fait accompli soit sur scène, en sachant très bien qu'elle va tout déchirer 