so complicated 'ft Liz

So complicated ft Liz

Tu te sens fatigué, ta journée a été assez éprouvante comme chaque fois que tu rentres après des cours de toute façon. Les élèves de l’école sont tous différents, mais pour une majorité d’entre eux, ils sont exaspérant ! Encore enfantins, beaucoup pensent à faire la fête, à simplement profiter de la vie et ne pas être concentré sur les cours que toi ça t'exaspère. Tu ne sais pas vraiment comment leur donner l’envie d’apprendre la littérature ! Bref, te voilà sur le chemin du retour, tu as ton portable en main, la tête un peu dans les nuages. Tu ne penses qu’à une chose : rentrer, s'effondrer comme une larve sur le canapé. Peut-être manger, des sushis. Tu as une irrésistible envie de sushi ce soir ! Et aussi partager un moment avec une certaine blondinette. Un sourire traverse ton visage en pensant à la jeune étudiante du nom de Lizbeth. Si seulement elle n’était qu’une étudiante, peut-être que tu pourrais te sentir moins oppressé par la direction. Tu sais qu’ils soupçonnent certaines choses, mais bon tu es proche de beaucoup de tes élèves aussi. Particulièrement les filles, mais quand tu es un professeur de vingt-sept ans, ce n’est pas très compliqué. Enfin bref, tu essayes de te dire que tu dois faire plus attention, parfois tu te demandes si ce ne serait pas plus simple de la laisser partir dans les bras d’un autre ? Ne serait-elle pas plus heureuse sans cette pression d’être découverte ? Aucune idée. Tu n’as pas non plus envie de l’abandonner. Tu l’aimes beaucoup trop pour ça !

Après plusieurs minutes de longues marches, tu arrive à la porte de ton immeuble. Un immeuble des plus basiques, ouais tu es loin de vivre dans un palace, mais ça te convient. Tu aimes bien ton petit coin cocooning ! Passant les portes, tu grimpes les étages rapidement, deux par deux. Te voilà devant la porte et au moment où tu sors ta clès, tu t’aperçois que la porte est déjà ouverte. Sourire sur les lèvres, tu pousses donc légèrement en jetant un coup d’oeil à l’intérieur. Tu sais qu’elle est là, elle seule a un double de tes clés !

“Liz ?”

Appelles-tu simplement avant de passer dans l’entrée en posant tes affaires, retirant ton blouson en cuire et avançant jusqu’au petit salon. Tu es pressé de la retrouver, de la prendre dans tes bras et l’embrasser. Bien que toutes les questions continuent de virevolter dans ta tête, tu te poses beaucoup de questions, beaucoup trop peut-être.

©crack in time

un réveil en sursaut. une fois de plus. les nausées sont de retour. tu cours le plus vite possible jusqu'à la salle de bain, pour retourner dans ton lit une dizaine de minutes plus tard. tu soupires. il va bien falloir que tu en parle à ash. ça va commencer à ce voir d'ici très peu de temps. mais t'as toujours peur de sa réaction. tu paniques dès que tu veux lui en parler. alors t'abandonnes très vite. le réveil sonne. t'as réussi à te rendormir seulement deux petites heures. pas assez pour être totalement en forme. tu te prépares, et finis par partir en direction de l'université, la musique dans les oreilles. t'es pas du tout en forme, mais tu ne peux pas te permettre de rater un seul cours de ta journée. celle-ci est d'ailleurs épuisante, plus que d'habitude, malgré le nombre de cafés que tu as pu prendre. tu soupires. t'as pas envie de rentrer chez toi. enfin, chez tes parents. tu vas encore te retrouver seule. et t'as pas envie d'être seule en ce moment. tes pieds te portent pour sortir de l'enceinte du campus. naturellement, tu te diriges vers l'appartement de celui qui fait battre ton coeur. t'es pas certaine qu'ash ait terminé le boulot, mais t'as le double des clés. alors ça passe. t'arrives devant l'immeuble en très peu de temps. tu pénètres dans ce dernier, puis monte difficilement les quelques étages. t'entre dans l'appartement après avoir enfoncé tes clés dans la serrure. tu ne prends même pas la peine de refermer la porte à double tours. tu fais comme chez toi. tu te débarrasses de ton blouson et de ton sac, les laissant dans l'entrée. tut'affales sur le canapé, ton téléphone en main. tes yeux se ferment sans que tu ne puisses lutter. - liz ? t'es réveiller par une voix. sa voix. un large sourire se dessine sur tes lèvres. tu te lèves pour le rejoindre, dans l'entrée, et lui sauter dans les bras. tu finis par déposer tes lèvres sur les siennes avant d'être déposée sur le sol. - alors, comment c'est passée ta journée ?

So complicated ft Liz

Tu aimes rentrer du taff parfois, enfin surtout dans ses moments là. Ses moments où tu pousses la portes de ton petit appartement et où ta fougueuse blondinette te saute dans les bras. Oui, tu ne te passerais pour rien au monde de ses instants qui sont pourtant si simple. Elle s’approche et te saute donc dans le creux de tes bras, tu entoures tes mains dans son dos et la serre contre ton torse. Tu aimes son contact, son odeur, la douceur de ses peaux, tu es totalement accro à cette jeune femme ! Un peu comme ta came à toi. Elle s’intéresse immédiatement à ta journée, elle te demande si ça c’est bien passé, mais que faire des mots. Tu la veux juste maintenant et tout de suite, tu attrapes donc son visage entre tes mains et viens poser tes lèvres sur les siennes. Un baiser au départ doux, qui devient ensuite passionnée avec les secondes qui s’écoulent si rapidement en sa compagnie. Tu es obligé néanmoins d’abonner la douceur de se contact pour pouvoir reprendre ta respiration, tu poses ensuite ton front contre le sien, plongeant tes yeux dans les siens. Tu profites du moment, tu profites du silence apaisant.

Tu finis par embrasser le haut de son front avant de caresser du bout des doigts sa joue, un sourire attendri sur le visage, haussant simplement des épaules, tu la taquine.

“ Tu sais, mes cours sont toujours… Barbant quand tu n’es pas dans ma classe.”

Riant un peu avant de voler de nouveau un baiser sur ses lèvres, rapide. Tu te détaches légèrement de la blondinette pour s'étirer, ça te fais du bien d’être là, pouvoir te détendre un peu et ne plus penser à ses étudiants que tu veux pour la majorité du temps étrangler.

“ Non, plus sérieusement, c’était une journée basique,... Des étudiants insupportables, mais bon ça passe ! Et toi, les cours, tout se passe bien ?”

Demandes-tu en retirant ton blouson, tes chaussures, prenant ensuite sa main dans la sienne. Tu l’attires jusqu’au sofa, sur lequel tu te laisses tomber dessus et tu l’attires au-dessus de toi.

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t'es heureuse de le retrouver. d'être dans ses bras ta journée à été épuisante. et chiante. tes cours d'aujourd'hui ne sont pas ceux que tu préfères. mais t'as pas vraiment le choix, t'es obligée d'y assister. dès que tu entends sa voix, tu te lèves pour lui sauter dans les bras. tu pourrais rester ainsi plusieurs heures. lovée au creux des bras d'ash, tu te sens protégée, comme si rien ne peux t'arriver. tu es heureuse, tout simplement. même si l'université ne tolère pas votre relation, tu te dis que tu peux rester cachée toute sa vie si tu peux rester avec lui. tu poses tes lèvres sur les siennes. tu te détaches rapidement et lui demande comment s'est passée sa journée. même si vous êtes au même endroit plusieurs heures, il n'est pas rare que tu ne croises pas ton bien-aimé de la journée. il kidnappe tes lèvres. le baiser s’intensifie. vous vous détachez, à contre-coeur, à bout de souffle. un sourire se colle sur ton visage. t'es réellement heureuse avec lui. - tu sais, mes cours sont toujours… barbant quand tu n’es pas dans ma classe. il te vole un baiser avant de se reculer. t'as toujours beaucoup de mal à te concentrer lorsque tu assistes à son cours. t'évites d'être au premier rang. tu te camoufles dans la foule d'élèves. mais tu ne peux pas t'empêcher de le regarder, t'en oublie même de prendre des notes. - ah bon ? je dois avouer que ma journée est toujours meilleure quand j'assiste à ton cours. chose vraie. ta journée est toujours meilleure lorsque tu aperçois son visage. - non, plus sérieusement, c’était une journée basique,... des étudiants insupportables, mais bon ça passe ! et toi, les cours, tout se passe bien ? t'éclates de rire. les étudiants sont toujours chiants. mais ça dépend aussi de l'heure de la journée. non. en fait, les étudiants sont toujours chiants. ils veulent faire la fête, et pas assister à des cours toute la journée. - bah ça c'est bien passé. j'suis un peu fatiguée mais ça va. tu omets de dire qu'en fait, t'as pas vraiment dormi de la nuit. il n'a pas besoin de le savoir. et t'as pas envie d'en parler. pas pour l'instant, du moins. tu te laisses attirer dans le salon. tes prunelles suivent l'installation pas très élégante d'ash sur le sofa. tu te places au dessus de lui, toujours avec ce sourire aux lèvres. - au fait, j'peux dormir ici ce soir ? mes parents ne sont toujours pas là et j'ai pas vraiment envie de rester toute seule. t'as jamais aimé rester seule. même lorsque tes géniteurs ne sont pas présents, y'a toujours eu quelqu'un avec toi. tu regardes ash avec tes petits yeux de chiens battus, comme -ci t'avais besoin de ça pour qu'il accepte ta requête.

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D’une grâce inimaginable, tu t’affales dans le canapé. Oh merde que ça fait du bien d’être installé ainsi et avec ta petite princesse au-dessus de toi. Comme dans tes habitudes, tes mains viennent trouver leurs places sur les hanches de la jeune femme. Tu aimes être là. Tu aimes quand elle est là et tu n’échangerais ça pour rien au monde oh que non ! Une fois que vous êtes installés elle t’explique brièvement sa journée et puis te demande en prenant l’air d’un chien battu si elle peut rester dormir ici parce que ses parents ne sont pas là. Ils ne sont jamais là de toute façon ! Tu la regarde et éclate soudainement de rire avant de te redresser sur tes coudes, venant glisser une main dans le creux de sa nuque en secouant la tête.

“ Tu penses vraiment avoir besoin de me demander l’autorisation pour rester dormir ici Liz ? Tu sais bien que tu es ici chez toi !” Assures-tu avec un sourire tendre. Bien sûr qu’elle a le droit d’être aussi, autant de temps qu’elle veut. Quand elle veut, à l’heure qu’elle veut. Aucun souci pour toi au contraire ! Soudain tu repenses à ton envie de sushi, tu lui souris et demande d’un air enfantin.

“ Par contre ce soir, ce sera sushi, c’est pas négociable mademoiselle McConnors !” Tu ris légèrement avant de l’embrasser rapidement sur le bout des lèvres. Tu pourrais passer ton temps à le faire, l’embrasser. Tu aimes beaucoup trop le contact et c’est probablement pour cette raison qu’il est parfois vraiment compliqué pour toi de rester concentré quand tu donnes tes cours et qu’elle est là ! Oui, si tu pouvais renvoyer tous les élèves chez eux et l’avoir juste pour toi dans ce couloir tu le ferais sans la moindre hésitation ! Relâchant ses lèvres tu reposes ta tête sur le haut de l’accoudoir tout en baillant.

“ Demain, on est malade tout les deux et on reste traîner ici, ok ?” demandes-tu en riant. Tu aimerais, mais tu sais aussi que ça ne serait pas raisonnable du tout ! Et puis tu ne voudrais pas que ça provoque des rumeurs ou que des doutes s'installent. Du moins encore plus.

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tu le regarde s'affaler sur le canapé. y'a des fois ou tu te demandes ce que tu fais avec un homme qui a la grâce d'un éléphant. mais cette idée sort très vite de ton esprit. en fait, tu trouve ça plutôt drôle, sa grâce d'éléphant. tu t'installes à califourchon sur lui, comme d'habitude. t'aimerais passer tout ton temps ici, dans cet appartement, avec lui. malheureusement, tu ne peux pas. enfin, ça reste une bonne chose que tes géniteurs ne soient jamais présents. au moins, tu peux passer du temps avec ash après les cours. tu lui expliques ta journée, rapidement. t'aimes pas entrer dans les détails quand tu parles de ta journée à la faculté. c'est pas quelque chose de très amusant, en soit. tu passes ton temps assise à prendre des notes. tu soupires. t'as plus envie de penser à cette journée. tu demandes au beau brun si tu peux rester dormir chez lui, ce soir. tu fais ta tête de bébé chien battu. t'as pas besoin de faire ça, tu le sais très bien. - tu penses vraiment avoir besoin de me demander l’autorisation pour rester dormir ici liz ? tu sais bien que tu es ici chez toi ! un large sourire s'affiche sur ton visage. tu poses tes lèvres délicatement sur les siennes, quelques instants. tu finis par te détacher de ton amant. - merciii. et j'préfère demander, au cas où, imagines t'as un truc de prévu. tu hausses les épaules. il t'as jamais dit non, ash, du moins pas quand tu voulais rester chez lui une soirée. on t'as jamais dit non. effet secondaire quand on a des parents aisés qui donnent tout et n'importe quoi à leur gosse. t'as eu des cadeaux à chaque fois qu'ils revenaient. ils voulaient se faire pardonner de leur absence. t'es pas habituée à ce qu'on te refuses quelque chose. t'es capricieuse comme fille. ash, il enchaîne en disant qu'il veut des sushis. que c'est la condition à ce que tu restes chez lui ce soir. tu hoches la tête. - ça me va ! t'aimes bien la bouffe asiatique. tu pourrais passer ta vie à en bouffer. un petit sourire s'esquisse sur tes lèvres lorsqu'elles entrent en contacte avec celles de ton amant. t'aimes ses baisers. tu pourrais passer ton temps à l'embrasser, cet homme. chose qui rend compliqué vos rencontres à l'université. - demain, on est malade tout les deux et on reste traîner ici, ok ? c'est pas une mauvaise idée. t'aimerais vraiment passer une journée avec lui, sans rien faire. - mais on peut paas. tu te laisses tomber sur lui, mais pas lourdement. t'as pas envie de te faire mal. t'enfouies ton visage dans son cou, respirant son odeur. t'es comme désespérée en prononçant ces mots. - les gens sont malades n'important quand, non ? donc c'est pas si grave si le professeur est tombé malade et que, totalement par hasard, l'une de ses élèves aussi. non ? tu redresses la tête. t'attends sa réaction, sa réponse.

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Cette douce idée est vraiment plus que tentante es-tu entrain de te dire. Rester ici, avec en plus ta princesse pour te tenir compagnie ! Vous passeriez probablement votre journée dans le petit appartement à regarder des films, des séries ou encore à vous chamailler, vous taquiner tout en vous gavant de cochonneries ! Ah putain ouais c’est un excellent programme. Le problème c’est que ça te ferais une journée de moins sur ta paie et tu ne peux pas vraiment te le permettre. Tout comme, bien que ça puisse être une simple coïncidence, tu as peur que ça éveille des soupçons au prêt de ta direction qui semble déjà te soupçonner de jouer de tes charmes avec tes élèves. S’il savait, tu serais viré et même mort peut-être ! Donc non, ce n’est pas une bonne idée de faire ça. Pourtant, tu ne sembles pas être le seul que cette idée emballe visiblement. En effet, la jeune femme aussi apprécie pas mal cette optique et tu ne peux t’empêcher de rire légèrement en l’écoutant parler. Tu secoues légèrement la tête.

“ Bien que j’aimerais beaucoup prendre un congé maladie pour passer une journée entière avec toi à ne rien faire dans cet appartement, j’ai besoin de ce boulot et surtout de la paye qui va avec, je ne peux donc malheureusement pas le permettre,...” Dis-tu en finissant ta phrase par un petit soupire qui montre bien que ça ne te plaît pas de devoir faire passer ton travail avant la jeune femme.

Mais il n’y a pas que toi de toute façon, elle aussi ne doit pas louper une journée de cours, elle est dans ses études et tu n’accepterais pas qu’elle le mette en péril si bêtement. Tu espères qu’elle ira loin et qu’elle pourra faire un métier qui lui plaît, tu l’espères et tu l’encourages dans cette voie ! Te redressant un peu, tu la regarde sans rien dire de plus. Tu la trouve fascinante et belle, tu pourrais passer ton temps à être comme ça. Parfois tu te surprend à être tant fleur bleue et tu soupçonnes que Liz ta littéralement fait changer sur ce point là. Oui, à son âge, tu étais plus fougueux, plus fêtard, plus dragueur. Tu aimais simplement agrandir ton tableau de chasse, mais avec elle non. Avec Liz’, tu aimes simplement être posé. Tu veux toujours tout faire pour qu’elle se sente bien.

Caressant doucement sa joue, tu approches de nouveau tes lèvres, mais cette fois tu lui embrasses le cou puis la mâchoire, bref tu déposes des baisers un peu partout. Son parfum t’enivres et tu pourrais continuer ainsi pendant des heures entières.

il propose de rester dans l'appartement le lendemain. de dire que vous êtes malades. l'idée est plaisante. très plaisante. mais, visiblement, il a changé d'avis. tu fais la moue suite aux paroles du beau brun. mais tu comprends. il ne peut pas se le permettre. pourtant, t'aurais réellement aimé passer un journée avec lui. à ne rien faire d'autre que de rester dans le canapé à bouffer n'importe quoi. l'idée était tentante, mais tu te résous à l'oublier rapidement. et dans tous les cas, tu ne peux pas te permettre de louper plus de cours, même si t'as toujours la possibilité de les rattraper en demandant les notes de quelqu'un d'autre. t'as pas vraiment envie de répéter les erreurs de tes années lycée. tu ne peux pas vraiment te permettre de louper toute une journée de cours, surtout si tu veux faire de longues études et avoir un métier que t'aimes à l'arrivée. tu restes déçue à l'idée de devoir aller en cours demain. surtout que tu n'es pas certaine de poser le regard sur ton beau brun. tu soupires à cette idée. tes géniteurs rentrent demain soir, enfin, normalement. il y a donc de grandes chances pour que tu restes dans leur demeure. mais tu vas très certainement trouver le moyen de partir au bout d'une heure ou deux, tes géniteurs finissent toujours par ne plus s'apercevoir de ta présence ou non. à croire qu'ils savent qu'ils ont eu un gosse ensemble. tu secoues légèrement la tête, chassant cette pensée de ton esprit. t'as juste envie de profiter de cette soirée avec ash. des frissons te parcours le corps lorsque les lèvres du professeur de littérature touchent ta peau. une fois te plus, tu poses tes lèvres sur les siennes, tout en plaçant des mains de part et d'autre de son visage. - une autre fois alors. promis ? t'aurais envie de partir avec lui, quelques jours, juste vous deux. mais c'est pratiquement impossible. du moins, pas en ce moment. ou pas tant que tu seras étudiante à l'université de londres. mais tu t'en fiche. tu pourrais rester dans cette relation cachée toute ta vie si c'est le seul moyen de rester avec le jeune professeur. - au fait, tu dirais quoi d'avoir un chat ici ? question débile, certes, et pas du tout le même sujet que le fait de louper une journée de cours. mais t'as envie d'un chat. et sachant que tes géniteurs foutraient la petite bête dehors, tu testes avec celui qui fait battre ton coeur.